L’ISSP est à la recherche d’un(e) stagiaire postdoctoral(e) compétent(e) et enthousiaste pour poursuivre un programme de recherche novateur axé sur l’évolution de l’interface entre les marchés mondiaux de l’énergie et la politique, les politiques publiques et la gouvernance énergétiques et climatiques au Canada. La personne retenue fera partie du nouveau projet du Forum Alex Trebek pour le dialogue intitulé Changement de l’ordre : Façonner l’avenir et garantir les droits dans un monde en transformation.
Quels aspects du Groupe de travail sur la transition équitable du Canada ont pu être utiles pour dépolariser l’élimination progressive de l’énergie au charbon par le Canada ? Rédigé par Brendan Frank, Associé principal de recherche d'Énergie positive, et le candidat au doctorat de uOttawa Sébastien Girard Lindsay, ce rapport est la deuxième de quatre études de cas sur des initiatives visant à réduire la polarisation sur les enjeux énergétiques et climatiques au Canada.
De nouveaux résultats de sondage d'Énergie positive examinent les opinions des canadiens et des canadiennes sur le rôle du pétrole et du gaz naturel dans l'économie actuelle et future du Canada, ainsi que les rôles respectifs des gouvernements fédéral et provinciaux dans l'avenir énergétique et climatique du pays. Cette enquête originale explore comment l'affiliation partisane, l'idéologie, la région, le sexe et l'âge peuvent influencer les opinions sur ces sujets.
Article d'opinion par Monica Gattinger, Présidente, Énergie positive; Rafael Aguirre, Membre d'équipe de recherche d'Énergie positive; Stephen Bird, Chercheur affilié, Énergie positive, Brendan Frank, directeur de recherche intérimaire, Énergie positive, uOttawa, pour Options politiques, en discutant le nouveau sondage d'Énergie positive Polarisation de l'énergie et du climat au Canada: pétrole et gaz.
Comment les Canadiens perçoivent-ils les compromis entre la reprise économique et la lutte contre les changements climatiques à l'ère du COVID-19? De nouveaux travaux de sondage de Positive Energy et de Nanos Research suggèrent que les Canadiens sont encore plus enclins à dire que c'est le meilleur moment plutôt que le pire pour être ambitieux face aux changements climatiques.