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Avec ses ailes rouge orangé ornées de nervures noires et de points blancs, le papillon monarque est l’un des insectes les plus connus en Amérique du Nord.

Tout le monde n’a peut-être pas la bosse des mathématiques, mais Saima Samchuck-Schnarck (diplômé de la maîtrise dirigé par le professeur Alistair Savage), lui, il en mange.

Les protéines jouent un rôle essentiel dans les organismes vivants. Chez l’humain, ce sont les blocs de construction des muscles, du cartilage, des os et de la peau.

Un projet de spécialisation au premier cycle est une excellente façon de goûter à la recherche universitaire.

Aller dans l’espace : un rêve pour les uns, une réalité pour les autres. Les effets des voyages dans l’espace sur la santé des astronautes sont une préoccupation majeure pour la NASA et l’Agence spatiale canadienne (ASC), qui collaborent toutes deux avec Santé Canada et l’Université d’Ottawa pour étudier le sujet.

Les changements climatiques sont l’enjeu environnemental de l’heure pour notre planète. Vagues de chaleur, inondations, sécheresses et feux incontrôlés : les répercussions sur notre quotidien sont manifestes.

Les plantes ont toujours joué un rôle de premier plan dans la santé et la survie humaines. Leur polyvalence en fait une source importante de nourriture, de vêtements et de médicaments. Avec plus de 390 000 espèces de plantes sur Terre, il n’est pas étonnant que certaines d’entre elles soient plus étudiées que d’autres.

La nanofabrication, c’est le processus de fabrication de matériaux et d’appareils à l’échelle nanométrique, où se manifestent certaines propriétés uniques des matériaux. On parle entre autres de nanodispositifs tels des circuits intégrés à semiconducteurs, des mémoires magnétiques à haute densité et des appareils de récolte d’énergie.

Les catalyseurs sont des agents de changement, et pas seulement de façon métaphorique. Ils provoquent des réactions qui autrement n’auraient pas lieu, faute d’énergie.

Avez-vous déjà pensé aux points que vous avez en commun avec le poisson-zèbre? À première vue, l’humain et le poisson-zèbre semblent diamétralement opposés. Pourtant, de nombreuses études montrent qu’ils ont en commun environ 70 % de leur code génétique. En outre, de nombreux neurones de la moelle épinière de ce poisson se retrouvent également dans celle de l’humain, ce qui fait du poisson-zèbre u...