Drapeau de la République islamique d'Iran flottant au-dessus du parc Chitgar, éclairé par le soleil couchant.
Mohammadali Dahaghin (Unsplash)
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Moyen-Orient : changement de régime en Iran et impact du sommet de l'OTAN

Srdjan Vucetic (français et anglais)

Professeur titulaire, École supérieure des affaires publiques et internationales, Faculté des sciences sociales

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Les intérêts de recherches du professeur Vucetic portent sur les politiques de défense canadiennes, les Relations entre le Canada et les É-U, la géopolitique et la sécurité internationale.

« Même avant Trump, Washington faisait pression sur ses alliés de l'OTAN pour qu'ils partagent davantage le fardeau de la défense collective. Trump a menacé à plusieurs reprises de ne pas protéger les profiteurs. En plus de cela, les actions du président américain sur le plan intérieur, ainsi que ses initiatives discutables à l'égard de la Russie et de l'Iran, rendent ce sommet très difficile à gérer pour les membres de l'alliance. »

 


Emily Regan Wills (français et anglais)

Professeure agrégée, École d'études politiques, Faculté des sciences sociales.

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La professeure Regan Wills est spécialiste du Moyen-Orient arabe.

« Alors que les États-Unis et Israël ont tous deux choisi l'escalade plutôt que la négociation dans le conflit régional qui s'intensifie, le sommet de l'OTAN demande aux partenaires européens et nord-américains ce qu'ils peuvent faire lorsqu'une grande puissance ne veut pas vraiment prendre les devants. Le gouvernement Carney doit soit se démarquer clairement des États-Unis, soit décider de continuer à suivre son allié historique, un choix qui ne pourrait être plus difficile à ce moment critique. Pendant ce temps, les Palestiniens, les Iraniens et les Israéliens continueront de mourir sans que cela ne présente de réels avantages stratégiques à quiconque. »


 


Dominique Arel (français et anglais)

Titulaire de la Chaire d’études ukrainiennes, et Professeur agrégé, École d’études politiques, Faculté des sciences sociales.

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Le professeur Arel peut discuter des conséquences de l'augmentation des dépenses de l'OTAN pour l'UE et l'Ukraine.


 


Margaret McCuaig-Johnston (anglais seulement)

Professionnelle-en-résidence de l’Institut de recherche sur la science, la société et la politique publique (ISSP), et à l'École supérieure des affaires publiques et internationales de l'Université d'Ottawa. 

[email protected](disponible des 15h)

L'expertise de la professeure McCuaig-Johnston comprend la stratégie de sécurité canadienne et la politique internationale.

« Augmenter notre engagement envers l'OTAN à 5 %, dont 1,5 % pour les infrastructures de soutien, est faisable en fonction de la date butoir. Nous aurons d'importants besoins dans l'Arctique, notamment en sous-marins à propulsion nucléaire capables de parcourir de longues distances sous la glace. »


 


Benjamin Zyla (anglais seulement)

Professeur adjoint, École de développement international et mondialisation, Faculté des sciences sociales

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Les recherches du professeur Zyla comprennent :

  • L'OTAN
  • Les opérations internationales pour la paix
  • La stratégie de sécurité canadienne dans le monde