La mise à niveau de ces serveurs vers des versions plus récentes et prises en charge par le système d’exploitation n’était pas réalisable en raison des limitations matérielles. La meilleure solution consistait à mettre hors service ces serveurs vulnérables et à transférer les applications associées vers de nouveaux environnements de serveurs.
Le projet en cours identifie les systèmes d’exploitation non pris en charge, les serveurs qui leur sont associés et les applications hébergées. Jusqu’à présent, un total de 300 serveurs ont été mis hors service, soit 60 % de ce qui est prévu. Cela contribuera au renforcement global de la sécurité de l’infrastructure de l’Université. Les efforts de retrait des anciens serveurs se poursuivront jusqu’en 2024.
Alors que le projet progresse vers son terme, il est primordial de reconnaître les efforts des gestionnaires d’applications et des clients impliqués dans ce projet. Leur leadership et leur expertise exceptionnels ont joué un rôle essentiel dans ce projet.