Les projets menés dans cet axe de recherche portent sur :
- Le rôle qu’occupent les représentantes et représentants syndicaux de première ligne dans le processus de retour au travail. Ce projet alliant analyse juridique et étude qualitative est mené par Maxine Visotzky-Charlebois dans le cadre de sa thèse de doctorat et supervisée par Dalia Gesualdi-Fecteau, Emmanuelle Bernheim et antérieurement Katherine Lippel.
- L’absence de protection en matière de harcèlement psychologique et sexuel au travail pour les personnes sans statut d’immigration. Cette étude ethnographique est menée par Noémie Beauvais dans le cadre de sa maîtrise en droit du travail et elle est supervisée par Rachel Cox.
Ces projets s’adjoignent à d’autres projets menés sur un plan pluridisciplinaire par d’autres équipes de cheurcheur·es de l’Université Laval, Waterloo Université, McMaster University, Memorial University et Wilfrid Laurier University.
Pour citer Katherine Lippel, instigatrice du projet principal, cet axe de recherche ne se limite pas au volet strictement juridique, « [il] se situe aux frontières des sciences de la réadaptation, des sciences juridiques et des études sur le travail précaire et le travail mobile, plus largement sur la santé au travail. »