Tamoghna, Baccalauréat en sciences sociales, spécialisation en Anthropologie et sociologie,
Pays de stage virtuel: Myanmar et Népal
ONG canadienne: Forum des fédérations
L’occasion de participer à ce stage s’est présentée à un moment très inattendu. Mes amis me répétaient sans cesse qu’il était important de faire un stage avant l’obtention du diplôme, mais je n’arrivais pas à en trouver par moi-même. En tant qu’étudiante internationale, c’était assez difficile. La découverte de ce stage a été une grande surprise et j’ai su que je n’en avais pas seulement besoin, mais que je voulais faire partie du programme. Malgré la pandémie, ce stage m’a permis d’acquérir des compétences professionnelles et de travailler en équipe. Je travaille actuellement sur les projets du Myanmar et du Népal et j’aide occasionnellement le bureau d’Ottawa à accomplir des tâches. Dans ces bureaux, nous travaillons en équipe en vue de la mise en place d’un gouvernement fédéral fiscal, incluant les hommes et les femmes. Au cours de mes études, j’ai constaté que mon travail de recherche était axé sur les résultats et le Forum des fédérations me donne l’occasion d’apporter une contribution à plus grande échelle lorsqu’il s’agit de travailler sur des questions qui comptent vraiment.
J’attendais de ce stage qu’il me permette d’acquérir une expérience professionnelle, de traduire les connaissances que j’ai acquises dans le cadre de mon programme au cours des quatre dernières années dans un environnement de travail, et la structure et les collègues du Forum m’ont permis de le faire avec succès. Au cours de ces dernières semaines, j’ai appris non seulement sur le plan professionnel, mais aussi sur le plan personnel. J’ai appris que j’aimais travailler et que j’avais hâte de travailler à temps plein après avoir obtenu mon diplôme. Je savais que je pouvais utiliser mon diplôme à bon escient, mais je n’avais pas réalisé l’ampleur de l’impact que mon travail au sein de la bonne organisation pouvait avoir. Travailler au Forum dans le cadre de ce programme s’avère être la fin parfaite des quatre dernières années d’université.