Quatre futures diplômées nous parlent de leur intérêt pour le génie

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Photos d'étudiantes à l'occasion de la Journée internationale de la femme
Dans le cadre de la Journée internationale de la femme, nous avons demandé à de futures diplômées en génie chez nous d’expliquer leur intérêt envers le domaine et les perspectives professionnelles qu’il leur offre.
Profil de Chloe Bergeron

Chloe Bergeron

Étudiante de 5e année en génie chimique et technologie de l’informatique
Présidente, Association des étudiant(e)s en génie

« Le programme de génie chimique et technologie de l’informatique m’intéressait le plus parce que ça me donnait l’opportunité de fusionner ma passion pour l’environnement avec mon amour des mathématiques et mon côté créatif. En tant que future ingénieure, l’aspect le plus important pour moi dans ma carrière est l’apprentissage continu et l’amélioration de procédés. Le domaine du génie chimique évolue encore très rapidement et est de plus en plus axé sur le développement durable, les énergies renouvelables et la réduction du gaspillage, ce qui est exactement ce que j’espérais. J’ai hâte de pouvoir jouer un rôle et d’avoir un impact positif dans la lutte contre le changement climatique, et d’assouvir ma curiosité chaque jour. »

Profil de Yzabelle Bisa

Yzabelle Bisa

Étudiante de 6e année en génie chimique et biochimie
Vice-présidente des services, Association des étudiant(e)s en génie

« Comme future ingénieure, je suis enchantée d’aspirer à une carrière où l’on repousse les limites de l’innovation pour résoudre des problèmes concrets. J’ai choisi d’étudier en génie chimique et biochimie parce que je voulais évoluer dans un domaine au carrefour du génie et de la science. Durant mes études de premier cycle, j’ai appris l’importance de l’application de connaissances interdisciplinaires. Je sais que l’enseignement reçu à l’Université d’Ottawa nous aidera mes camarades et moi à travailler ensemble à surmonter les défis qui se présenteront bientôt à nous. Aujourd’hui, je poursuis ma préparation à une carrière dans le domaine du génie biomédical par mes études au cycle supérieur, et je me rappellerai toujours qu’un diplôme en génie s’acquiert en équipe. »

Profil de Reese Wunsche

Reese Wunsche

Étudiante de 5e année en génie mécanique biomédical et technologie de l’informatique
Anciennement présidente et vice-présidence des services, Association des étudiant(e)s en génie

« J’ai choisi la discipline du génie mécanique biomédical à l’Université d’Ottawa parce que je voulais concevoir des dispositifs médicaux pour aider les gens à vivre de belles et longues vies. J’aspire à travailler en conception d’appareils de réadaptation ou d’implants prothétiques, ainsi qu’à rendre les options de traitement plus abordables et accessibles dans ce domaine. Tout au long de mes études de premier cycle, j’ai rencontré des femmes en génie, et j’ai noué avec chacune d’elles des liens d’amitié et de collaboration durables. Lorsque je côtoie d’autres femmes dans mes cours de génie, je me sens à ma place et soutenue dans ma communauté. J’obtiendrai mon diplôme ce trimestre, et j’espère voir une aussi grande représentation féminine dans le marché du génie biomédical. Je souhaite aussi inspirer plus de jeunes filles à choisir les STIM, car le domaine est plus accessible qu’il n’y paraît à première vue! »

Profil de Jillian Prins

Jillian Prins

Étudiante de 4e année en biotechnologie
Chef d’équipe (charge de fusée) au sein de l’équipe uOttawa Rocketry

« J’ai voulu étudier en génie, et plus précisément en biotechnologie, parce que je cherchais une discipline réunissant les différents domaines scientifiques que j’affectionne, à savoir la biologie, la chimie et le génie. Je m’intéressais aussi beaucoup aux champs d’application modernes de la biotechnologie et du génie chimique, comme ceux de la thérapie génique, des traitements médicaux innovants et de la technologie de capture du carbone. La pandémie m’a rappelé tout particulièrement l’importance que prennent les sciences et le génie de nos jours. Le monde n’est pas au bout de ses peines, et c’est justement à la science et à la technologie que tiendra probablement une bonne part de son salut. Je souhaite faire partie des solutions! Mes études à l’Université d’Ottawa m’ont permis d’approfondir sur mes sujets d’intérêt et de préciser ma contribution possible. J’ai aussi eu beaucoup de plaisir, particulièrement ces deux dernières années avec l’équipe de fuséologie de l’Université d’Ottawa, qui m’a permis de me perfectionner comme ingénieure et scientifique. À mes yeux, le génie est une discipline passionnante qui peut véritablement changer le monde. J’adore ça! »

La Faculté de génie de l’Université d’Ottawa appuie l’initiative 30 en 30, un objectif national visant à de porter à 30 % le taux d'ingénieures nouvellement titulaires d'ici 2030.