Azadeh Akbari
Azadeh Akbari
Chercheuse invitée




Biographie

La professeure Azadeh Akbari est chercheuse invitée au Centre de recherche en droit, technologie et société de l’Université d’Ottawa. 

La professeure Azadeh Akbari est professeure adjointe en administration publique et transformation numérique à la University of Twente, aux Pays-Bas. Ses recherches portent sur la surveillance autoritaire et les études critiques des TIC dans le développement. Elle est membre du conseil d'administration de l'International Surveillance Studies Network et a également fondé le Surveillance in the Global South Research Network afin d'élargir le champ des études en surveillances pour y inclure les discours et les pratiques non occidentaux et créer un lieu d'échange, de collaboration et d'activisme contre l'utilisation antidémocratique des technologies de surveillance. 

La professeure Akbari a été journaliste pendant de nombreuses années et a travaillé en tant que responsable de la communication et spécialiste de la sensibilisation des communautés au Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés, à l'UNICEF et au British Council. Elle contribue à de nombreux médias de premier plan, dont The Guardian et CNN, en commentant la gouvernance de l'internet et les technologies de surveillance dans les régimes autoritaires.  

Elle est co-éditrice de deux livres à paraître sur les TIC pour le développement chez Routledge avec Silvia Masiero, et du International Handbook of Critical Surveillance Studies chez Edward Elgar avec Murakami Wood, van Brakel, & Bruno. Azadeh Akbari est également l'éditrice numérique des revues Surveillance & Society et Territory, Politics, Governance.

La professeure Azadeh Akbari a étudié la sociologie (licence) et le journalisme en Iran et la recherche sur le genre (maîtrise) à la London School of Economics and Political Sciences. Elle a obtenu son doctorat en géographie humaine à l'université de Heidelberg, où elle a étudié la surveillance en tant qu'injustice spatiale. Son travail postdoctoral au sein du groupe de géographie politique de l'Université de Münster s'est concentré sur l'examen du lien entre les systèmes politiques et la gouvernance numérique dans les contextes autoritaires.