Sarah Marquis est candidate au doctorat en durabilité environnementale à l'Institut de l'environnement et au Centre de recherche en droit, technologie et société de l'Université d'Ottawa, sous la supervision de la professeure Kelly Bronson.
Sarah Marquis a commencé son doctorat à l'Institut de l'environnement de l'Université d'Ottawa en 2020. Ses travaux portent sur les impacts de l’agriculture numérique ou « agriculture intelligente » et sur la façon dont l'émergence des données massives agricoles contribue à remodeler les politiques et les pratiques de l'agriculture. Sa recherche doctorale continuera d'explorer les impacts sociaux et environnementaux de la technologie agricole au Canada, et elle s'intéresse particulièrement au rôle de l'intelligence artificielle dans l'agriculture. Elle s'engage à appliquer une lentille critique aux technologies qui sont présentées comme des solutions aux problèmes environnementaux tels que le changement climatique.
Sarah Marquis travaille comme assistante de recherche pour la sénatrice Mary Coyle, une sénatrice indépendante représentant la Nouvelle-Écosse. Elle contribue au travail de la sénatrice Coyle pour attirer l'attention des parlementaires canadiens sur les défis du changement climatique et de la perte de biodiversité. Sarah Marquis est également impliquée dans une organisation basée à Ottawa appelée Climate Justice Ottawa, un groupe de défense engagé dans le mouvement pour la justice environnementale.
Sarah Marquis a obtenu une maîtrise du Département de géographie, d'environnement et de géomatique de la University of Guelph en 2020. Elle avait auparavant obtenu son diplôme de premier cycle en sciences de l'environnement à Queen's University.