Jane Bailey
Jane Bailey
Professeure, Faculté de droit, section de Common Law


Salle 
Pavillon Fauteux, FTX368 (57, Louis Pasteur)
Numéro de téléphone 
Bureau : 613-562-5800 poste 2364


Biographie

Biographie complète

Intérêts de recherche

  • L'exposition de soi en ligne par les filles et les jeunes femmes (y compris le sexting et la cyberintimidation)

  • Harcèlement et haine en ligne

  • Problèmes de vie privée et d'égalité découlant de la surveillance

  • Accès à la justice

B.A.S. (Spéc.) (Trent), M.I.R. (Queen's), LL.B. (Queen's), LL.M. (Toronto), membre du Barreau de l’Ontario, professeure agrégée

Jane Bailey a joint le corps professoral de common law en 2002. Elle enseigne la réglementation des communications Internet, la procédure civile et les contrats. Professeure Bailey a terminé ses études de LL.M. à l’Université de Toronto en 2002, grâce à une bourse du Centre for Innovation Law and Policy et une bourse de l’Ontario. Elle est l’une des corécipiendaires du prix Howland pour excellence au programme de LL.M. Elle a exercé les fonctions d’auxiliaire juridique auprès de l’honorable John Sopinka à la Cour suprême du Canada. Avant de retourner aux études, professeure Bailey a pratiqué le droit au cabinet Torys à Toronto, en tant qu’avocate collaboratrice au département du contentieux. Son expérience du contentieux inclut les enquêtes illicites menées auprès de contestataires politiques et l’application des lois existantes régissant le discours haineux sur Internet. Ses principaux intérêts de recherche sont liés aux interfaces entre le droit, les technologies émergentes et l’équité. Sa recherche de LL.M. était consacrée à la réglementation possible du discours haineux sur Internet. Sa recherche actuelle porte sur les incidences des technologies émergentes sur les engagements publics fondamentaux en matière des droits à l’égalité, de la liberté d’expression et du multiculturalisme ainsi que sur les répercussions sociétales et culturelles de l’Internet et des formes émergentes de contrôle des technologies privées, en particulier en rapport avec les membres de communautés socialement désavantagées.