Le COVID-19 place les Canadiens au cœur de l'environnement et économie

Le programme Énergie positive de l’Université d’Ottawa utilise son pouvoir de mobilisation pour réunir des chercheurs universitaires et des décideurs de haut niveau issus de l’industrie, des gouvernements, des communautés autochtones, des communautés locales et d’organisations environnementales pour déterminer comment renforcer la confiance du public dans la prise de décision en matière d'énergie.

Maquette du rapport.

Le sondage

De nouveaux résultats de sondage d'Énergie positive et Nanos Research examinent comment et pourquoi les attitudes des Canadiens face aux changements climatiques ont changé à la suite du COVID-19.

Le sondage propose également des mises à jour sur plusieurs questions que Nanos et Énergie positive ont suivies depuis 2015, notamment les points de vue des Canadiens sur le développement du pétrole et du gaz, les énergies renouvelables, le leadership fédéral sur les changements climatiques et les compromis perçus entre l'environnement et l'économie.

L'enquête était une enquête hybride téléphonique et en ligne à double base RDD (lignes terrestres et cellulaires) auprès de 1049 Canadiens âgés de 18 ans ou plus, entre le 28 juin et le 2 juillet 2020 dans le cadre d'une enquête omnibus Nanos.

L'analyse

On a demandé aux Canadiens sur une échelle de 0 à 10, où 0 signifie absolument le pire moment et 10 absolument le meilleur moment, dans quelle mesure le Canada est-il opportun de faire preuve d'ambition dans la lutte contre les changements climatiques, même si cela entraîne des coûts pour l'économie. On leur a également demandé de préciser pourquoi ils le pensaient. Une pluralité de Canadiens estiment que le moment est venu d'être ambitieux. Cependant, l'opinion sur la question semble quelque peu polarisée, un Canadien sur trois ayant répondu 0 ou 10. Les réponses sont réparties par région, âge et sexe.

La couverture médiatique