Des projets de GNL non construits et construits – Qui décide et comment ?

Le programme Énergie positive de l’Université d’Ottawa utilise son pouvoir de mobilisation pour réunir des chercheurs universitaires et des décideurs de haut niveau issus de l’industrie, des gouvernements, des communautés autochtones, des communautés locales et d’organisations environnementales pour déterminer comment renforcer la confiance du public dans la prise de décision en matière d'énergie.

Maquette du rapport.

L'étude

Une nouvelle étude du programme Énergie positive de l'Université d'Ottawa (PDF, 1.1 Mo) examine la différence entre les décisions d'investissement finales dans le secteur du gaz naturel liquéfié (GNL) en Australie-Occidentale, le deuxième exportateur mondial, et en Colombie-Britannique, avec un seul projet en construction.

L'étude, rédigée par Andrew Pickford, Chercheur affilié d'Énergie positive, suggère qu'il existe des points communs importants entre les projets qui ont réussi et ceux qui ont échoué en Australie-Occidentale et en Colombie-Britannique. Il révèle d'importantes différences de contexte et d'arrangements institutionnels pour la prise de décision entre l'Australie et le Canada qui peuvent avoir contribué aux différentes expériences des pays à sécuriser les investisseurs et la confiance du public et à attirer les investissements dans le GNL.

Les conclusions de l'étude sont pertinentes pour d'autres mégaprojets qui devront être financés et construits sur la voie de carboneutralité de GES d'ici 2050 (par exemple, l'hydrogène, les énergies renouvelables à grande échelle).

L'étude en bref

La couverture médiatique

Andrew Pickford on Final Investment Decisions - Le balado d'Énergie positive