Le plus haut tribunal des Nations unies a donné son avis autour des obligations des États en matière de changement climatique, indiquant qu'un manque d’action est une violation du droit international. Les pays responsables pourraient devoir verser des réparations à ceux qui en subissent les effets.
Les médias peuvent communiquer directement avec :
Thomas Burelli (français et anglais)
Professeur titulaire, Faculté de droit – Section de droit civil
[email protected]
Les recherches et l'expertise du professeur Burelli portent sur le droit international de l'environnement et la Justice environnementale. Il considèrela decision de la CIJ comme :
- Une décision historique pour la lutte contre les changements climatiques.
- Une clarification des obligations internationales des États en matière de lutte contre les changements climatiques.
- Un camouflet pour le Canada et sa vision du droit international dans le domaine de la lutte contre les changements climatiques.
Un avis qui va probablement inspirer de nombreuses poursuites judiciaires contre les États en raison de l'insuffisance de leur action en matière de climat.