En septembre 2022, l’Université est fièrement devenue la première université canadienne à signer le Cool Food Pledge, une initiative mondiale gérée par le World Resources Institute (WRI) qui vise une réduction collective de 25 % des émissions de gaz à effet de serre provenant de l’industrie alimentaire d’ici 2030. 

L’Université d’Ottawa signe le Cool Food Pledge

Comme l’explique le plan Transformation 2030, l’Université d’Ottawa est résolue à montrer la voie à suivre dans un environnement mondial en évolution et à jouer son rôle pour favoriser et promouvoir la durabilité en vue d’un meilleur avenir collectif.

Des études montrent que la production alimentaire est à l’origine d’environ un quart des émissions de gaz à effet de serre sur la planète; les Services alimentaires de l’Université souhaitent en tenir compte dans leurs activités. Ainsi, en septembre 2022, l’Université est fièrement devenue la première université canadienne à signer le Cool Food Pledge, une initiative mondiale gérée par le World Resources Institute (WRI) qui vise une réduction collective de 25 % des émissions de gaz à effet de serre provenant de l’industrie alimentaire d’ici 2030. 

Cet engagement repose sur un objectif commun fondé sur la science et mobilise une communauté de leaders de premier plan auprès de qui apprendre dans nos efforts de création d’un système alimentaire plus durable. Le Cool Food Pledge a été appuyé par plusieurs signataires bien connus, comme Nestlé, IKEA, la Ville de New York, la Banque mondiale et l’Université Harvard. Les données préliminaires analysées par le WRI indiquent que si les signataires actuels atteignent ensemble l’objectif de réduction de 25 % d’ici 2030, ils éviteront chaque année l’émission de 6,4 millions de tonnes de gaz à effet de serre provenant de l’industrie alimentaire. Cette baisse équivaut à retirer plus de 1,3 million de voitures des routes.

« Les aliments que nous consommons ont des effets considérables sur notre planète et notre santé, souligne Anne Goodwin, diététicienne aux Services alimentaires de l’Université d’Ottawa. Heureusement, en mangeant plus d’aliments de source végétale, on se nourrit tout en contribuant à réduire l’empreinte carbone du système alimentaire. Mais ce changement n’a pas à être drastique. Le simple choix de consommer moins de viande peut être bénéfique à la fois pour notre santé et pour l’environnement. »

Les Services alimentaires de l’Université d’Ottawa se sont engagés à agir pour le climat en offrant de plus en plus d’options végétales à la fois délicieuses, saines et éco-responsables. C’est notre promesse pour un avenir plus durable.