À propos du Bureau des droits de la personne

Luc Bélanger (il, lui), directeur principal 

Fier diplômé en droit de l’Université d’Ottawa ayant présidé un tribunal administratif fédéral, Luc maintient des liens forts avec la communauté de son alma mater, où il donne des présentations sur la santé mentale et la profession juridique. Ce meneur empathique et toujours à la recherche de solutions possède plus de 10 ans d’expérience en matière de leadership éclairé, de gestion du changement, de direction organisationnelle et d’évolution des opérations d’entreprise au sein d’institutions publiques de premier plan.   

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Edna Pires (elle), adjointe de direction 

Edna veille au bon fonctionnement du Bureau et facilite la mise en œuvre des activités et des projets. Animée par la recherche de l’excellence et par un dévouement sans faille, elle cherche à étendre l’influence de l’Université et à contribuer à sa culture de collaboration et d’innovation.
 
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Catherine Roy (elle), agente responsable

Catherine a fait son baccalauréat en criminologie à l’Université Saint Mary’s avant d’aller poursuivre ses études en Écosse, où elle a obtenu une maîtrise en criminalité transnationale, justice et sécurité de l’Université de Glasgow. Elle a vécu à Glasgow quatre ans avant de revenir au Canada pour rejoindre les rangs du Bureau des droits de la personne. 

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Marie-Claude Gagnon (elle), gestionnaire, Accessibilité, équité, diversité et inclusion 

Depuis plus d’une décennie, Marie-Claude œuvre à l’application des lois visant à abolir les obstacles et la discrimination systémique ainsi qu’à promouvoir l’accessibilité dans les milieux de vie, de travail et d’apprentissage à l’Université d’Ottawa. De concert avec différents secteurs et parties prenantes, elle élabore des plans, des stratégies, des outils, des formations et des rapports pour atteindre nos objectifs. Elle offre également des conseils sur les pratiques à adopter pour aider l’Université à rendre ses services et tout son écosystème plus accessibles et inclusifs. 

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Audrey LaBrie (elle), conseillère responsable

Cette ancienne enseignante devenue avocate est une fière diplômée du Programme de common law en français. Avant de se joindre au Bureau, Audrey a pratiqué le droit pendant sept ans dans une clinique juridique communautaire, où elle a représenté une clientèle démunie devant les tribunaux et traité des dossiers de discrimination, de logement, d’emploi et d’aide sociale. Elle a obtenu un certificat de l’Osgoode Hall Law School en théorie et pratique des droits de la personne et s’est bâti une expertise dans le traitement de cas complexes en droit des personnes handicapées.  

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Kristyn Hakim (elle), conseillère responsable 

Avant d’arriver au Bureau des droits de la personne, Kristyn a obtenu un diplôme en psychologie de l’Université Concordia ainsi qu’un diplôme en droit de l’Université McGill. Elle allie connaissances, expérience et expertise en résolution de conflits, notamment par la médiation. 

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Marie-Alexandra Major (elle), conseillère responsable 

Formée en droit et en travail social, Marie-Alexandra compte plus de 10 ans d’expérience dans le domaine de la protection de l’enfance. Elle possède les aptitudes et compétences nécessaires pour mener des enquêtes auprès de toutes sortes de populations dans toutes sortes de contextes, et ce, toujours avec impartialité et équité. 

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Sarah Pekeles (elle), conseillère principale, Prévention de la violence sexuelle 

Sarah travaille avec les jeunes et les familles depuis plus de 15 ans. Elle s’efforce d’accompagner les personnes survivantes tout au long de leur parcours, en restant toujours consciente de ce qu’elles vivent. Elle met en œuvre une approche accessible pour aider les membres de la communauté universitaire à innover en vue de devenir des leaders en prévention de la violence sexuelle.
 
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Marie-Lou Villeneuve-Hobbs (elle), conseillère principale, Prévention de la violence sexuelle
 
Titulaire d’un baccalauréat et d’une maîtrise en travail social, Marie-Lou possède plusieurs années d’expérience en intervention auprès de personnes survivantes de tout type de violence fondée sur le genre. Son rôle est d’accompagner les membres de notre communauté avec empathie, patience et une écoute sans jugement, et de les outiller afin de leur permettre de prendre leurs propres décisions au moment qui leur convient.   

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Vos droits à uOttawa:

• Un espace sûr, positif et respectueux
• Un traitement équitable sans discrimination
• Un milieu d’apprentissage et de travail sans harcèlement
• Un milieu de travail, d’enseignement et d’apprentissage accessible et sans obstacles
• Des accommodements raisonnables
• La confidentialité et la protection de votre vie privée  
• Des services de soutien (voir les ressources de santé et de mieux-être et le Syndicat étudiant de l’Université d’Ottawa pour en savoir plus)
• Signaler vos préoccupations ou déposer une plainte sans crainte de représailles

Vos droits :

• La justice naturelle et l’équité procédurale durant toute procédure, y compris :
  • Poser des questions sur la procédure
  • Soumettre des preuves et le nom de témoins potentiels
  • Faire l’objet d’une interrogation par l’enquêteuse ou l’enquêteur dans le cadre d’une procédure officielle
  • Obtenir une résolution rapide
  • Connaître les résultats
• Bénéficier de l’accompagnement d’une personne de soutien de votre choix durant toute procédure. Cette personne peut vous offrir son soutien émotionnel, mais ne peut pas agir ou parler à votre place. Il peut s’agir d’une des personnes suivantes :
  • Une représentante ou un représentant du syndicat
  • Une avocate ou un avocat (qui peut vous soutenir, mais pas vous représenter)
  • Une ou un proche
• Recevoir des services de soutien durant la procédure
• Retirer une plainte formelle avant qu’une décision soit rendue
• Faire appel d’une décision
• Donner votre avis sur votre expérience 

Les membres de la communauté universitaire ont le droit de d’utiliser des ressources autres que celles du Bureau des droits de la personne, de recevoir de l’information et des conseils, de recourir à un autre mécanisme de plainte et de donner leur avis sur les services du Bureau des droits de la personne. Voici quelques exemples de ressources externes.

À l’Université :

• Service de la protection
• Syndicats (notamment pour l’application des dispositions des conventions collectives)
• Centre des droits étudiants (étudiants de premier cycle uniquement)
• Bureau de l’ombudsman
• Clinique juridique communautaire

Hors de l’Université :

• Service de police d’Ottawa
• Tribunal des droits de la personne de l’Ontario
• Aide juridique Ontario