Pourquoi?
Les Affaires autochtones sont responsables de l’organisation d’une gamme d’activités sur le campus qui permettent à la population étudiante et au personnel de vivre des expériences et de participer à des aspects de la culture autochtone, notamment le pow-wow annuel, des conférences données par des personnes autochtones et d’autres événements.
Les dates et les périodes particulièrement commémorées par les peuples autochtones du Canada doivent faire partie du calendrier de l’Université.
Les têtes intellectuelles et militantes autochtones doivent être revalorisées en invitant les facultés à nommer au moins une personne autochtone comme récipiendaire d’un doctorat honorifique tous les ans.
Quand?
Court terme
Comment?
Dresser une liste des dates et des événements qui sont au cœur de la vie des personnes autochtones au pays et veiller à ce que l’Université commémore ces dates. Cette liste pourrait inclure une journée réservée ou des journées de commémoration, comme la Journée nationale des peuples autochtones (21 juin), la journée Louis Riel (16 novembre), la Semaine de reconnaissance des traités (novembre), etc., dans le but d’intégrer la vie autochtone au campus.
Rappeler chaque année aux facultés de penser à proposer la candidature, au doctorat honorifique, d’une personne autochtone qui a eu une incidence sur les sociétés autochtones.
Coût?
Il n’y a pas de répercussions sur le plan des ressources en ce qui concerne le fait de reconnaître des dates ou d’obtenir ces distinctions honorifiques.
Qui?
Direction générale des communications | Bureau des cérémonies et événements | Provost | Décanats (pour les nominations des candidatures aux doctorats honorifiques)
Statut?
L’Université d’Ottawa a intégré des événements de commémoration des PNMI à sa programmation, démontrant son engagement à souligner les événements culturels marquants.
Les unités scolaires peuvent s’appuyer sur ces bases pour intégrer des activités de commémoration à leur programmation régulière et tirer profit des cadres événementiels existants pour générer un engouement. L’approche concertée pour ces initiatives permet d’intégrer les fêtes autochtones à la vie étudiante tout en optimisant les ressources disponibles.